Salon de la moto : cette année, j’y vais


Je ne suis pas moto, n’en déplaise aux milliers de mordus qui fréquentent le salon de la moto de Montréal chaque année. En fait, pour être totalement réaliste, je n’y connais rien, et j’avoue n’avoir jamais éprouvé la piqure de plaisir en conduisant ces engins. Quand j’étais jeune (et ceux qui ont mon âge s’en souviendront), le permis de conduire moto venait de série avec le permis régulier. Par la suite, il suffisait de verser quelques dollars de plus par année pour le conserver. Ce que je n’ai pas fait.

Aujourd’hui, je le regrette. Je n’ai toujours pas la piqure (bien que mes randonnées dans ce qui m’est permis et qui se rapproche le plus d’une moto comme un T-Rex ou un Spyder m’ont bien plu), mais je suis curieux de voir ce que l’on nous propose comme nouveaux modèles.

En fait, en feuilletant un peu, en jasant avec des collègues amateurs de moto, j’ai redécouvert un monde rempli de passionnés, et de véritables machines de guerre dont la technologie se rapproche de plus en plus de celle des voitures.

En fait, les motos d’aujourd’hui sont rien de moins que spectaculaires. Pas assez pour m’encourager à me taper une année complète de cours pour avoir un permis, mais bien assez pour me rendre les voir au Salon de la moto du 24 au 26 février prochain, au Palais des congrès.

L’amie, qui s’occupe des relations de presse de l’événement, tente chaque année de me convaincre. Cette année, elle va réussir, et il est à peu près certain que je vais y passer.

En tout cas, j’ai parlé à ces connaissances amateur de moto des 500 nouveautés à venir, et des modèles précis, et ils ont tous hâte. Je me sens donc comme si je manquais quelque chose.

Alors si les Indian Chieftain, Guzzi V7III Special, Suzuki VanVan 200, ou BMW G310R vous disent quelque chose, c’est au Palais des congrès qu’il faut être du 24 au 26 février. On s’y croisera peut-être.

NOTE : ne vous fiez pas à la photo, c’est une photo d’archives datant de 2015. Quand même, notez que je ne suis pas si tarte, et que je connais plusieurs de ces modèles. Mais j’avoue avoir un faible pour des modèles à l’allure vintage comme l’Indian, ce qui trahit mon grand âge J